MENACES EN TOUS GENRES – SECONDE PARTIE

Production en 2025

 

Menaces en tous genres – Seconde partie, est une pièce composée de saynètes tout public construite autour d’un dispositif sonore et scénographique qui se développe par le jeu des comédiens.

Chaque micro-pièce à son histoire.


 

En cours de production - Création 2025

En compagnie des Pouzouères

David Conrad

Dès 10 ans | Durée 1H15


Menaces en tous genres – Seconde partie, n’est pas une suite logique à la première partie. Ainsi l’ensemble ne forme pas une pièce, en deux parties. Cependant, ces deux parties abordent deux rapports différents au monde et donc à la menace. Toujours constitué de micro-pièces, elles sont construites autour d’un dispositif sonore et scénographique qui se développe par le jeu des comédiens. Chaque micro-pièce à son narratif.

Dans cette seconde partie, c’est une autre menace que nous souhaitons interroger. A la fin des années 90 le changement de civilisation s’opère ; La révolution numérique. Outre l’accélération de biens accessibles via la dématérialisation, c’est aussi l’avènement d’un nouveau rapport à l’autre qui se construis ; Absence de corps, l’amour à un clic, la psyché des humains qui est taylorisée. Désormais, tout est fait en ligne pour réduire le coût d’activités aussi essentielles que se divertir, s’éduquer, se soigner, se nourrir et même se faire la cour.

Le lien social physique c’est dissous pour créer un lien social dématérialisé. Ainsi, l’Homme rencontre des difficultés à comprendre l’autre, puisqu’il l’amalgame entre, réel, et dématérialisation des rapport humains, s’entrecroisent. De fait, tous nous sommes vivons plongés dans le réel, mais avec des injections dématérialisées. La Menace ne vient plus, de ce que créé le réel, mais bien ce que créée la dématérialisation du monde numérique, sur le réel.

 

Écriture et mise en scène :         David Conrad

Interprétation :                                Ingrid Bonini, Quentin Métrop, Leïla Martin

Dispositif scénographique :     Julie Bujon

Création sonore et lumière :   Gabriel Truilhe